









Une aventure d'une semaine au cœur des plus beaux systèmes volcaniques d'Islande. Les montagnes colorées de Landmannalaugar où la rhyolite décore les reliefs infinis. Ses solfatares et geysers, balisant le paysage de signaux géothermiques. La vallée magique de Thorsmörk, où le feu et la glace ont tranchés des labyrinthes de gorges, toutes aussi mystérieuses les unes des autres. On traverse les forêts endémiques, rares zones de l'île où la végétation colonise toujours la roche. A travers de magnifiques randonnées au départ même des sites, en bivouac, nous nous imprégnerons de l'atmosphere si singulière des hautes terres d'Islande, minérales et insolites. Chaque jour, le décor se transforme. Et à mesure que les paysages bougent, quelque chose se déplace aussi en nous.
Ce voyage, c’est marcher entre les mondes. Entre les continents à Thingvellir. Entre les saisons, les rythmes, les états. C’est une aventure en mouvement, une immersion dans une nature brute, contrastée, organique. Une invitation à rencontrer l'Islande et ses secrets.
Les niveaux du voyage
Niveau physique
de 4 à 5h d'activité par jour en moyenne ou un dénivelé moyen de 300 à 500m
Engagement
Ce voyage peut nécessiter quelques efforts. Les conditions sont majoritairement bonnes et le programme comporte un peu de challenge. Le voyage demande une appétence pour la nouveauté. Il est accessible à une majorité de personnes.
Altitude
Moins de 1500 mètres
Arrivée en terre islandaise. L’air est plus vif, plus clair. On quitte l’aéroport pour rejoindre une guesthouse à Reykjavik. Le voyage commence tranquillement, le temps de s’acclimater, de se poser. Dîner libre, nuit à Reykjavik.
Nous partons à l’aube. Le bus quitte les zones habitées et s’enfonce vers l’intérieur de l’île. Très vite, la route longe les pentes sombres du volcan Hekla. Le paysage évolue progressivement : les prairies disparaissent, remplacées par des étendues de cendres. Les reliefs deviennent plus secs, plus bruts. Le silence s’installe, amplifié par l’ampleur du décor. En fin de matinée, nous atteignons le point de départ de nos randonnées. Nous prenons le temps d’installer le campement, de nous organiser, puis de partager un déjeuner simple, en plein air. L’après-midi, nous partons marcher. L’itinéraire alterne entre crêtes et vallons, avec des vues dégagées sur les plateaux environnants. Le terrain est minéral, parfois instable, mais toujours stimulant. En fin de journée, une source chaude naturelle nous attend. Le contraste avec l’air frais est saisissant. Nous nous y glissons pour relâcher les tensions, profiter de la chaleur et du calme. Le soir venu, nous retrouvons nos tentes, plantées au cœur d’un désert coloré. Le ciel s’assombrit lentement, les lumières baissent. Nous nous endormons dans un silence total, enveloppés par la nature.
Nous consacrons cette journée à l’exploration des montagnes pastel. Le guide ajuste l’itinéraire en fonction de la météo, choisit les lignes les plus lisibles, les sommets accessibles, les lumières du moment. Nous progressons ensemble dans un décor minéral, contrasté, parfois instable. Skalli, Bláhnúkur, Hrafntinnusker : des noms qui rythment notre avancée, des reliefs qui marquent les étapes. Nous grimpons, nous traversons, nous observons. Le rythme est soutenu, les pauses sont courtes, les panoramas toujours saisissants. Chacun trouve sa place dans le mouvement. En fin de journée, nous retrouvons le campement. Les jambes sont lourdes, les visages marqués, mais l’ambiance reste légère. Le dîner se partage dehors, dans une atmosphère calme. Puis nous rejoignons nos tentes pour une nuit bien méritée, au cœur de ce territoire brut.
Nous faisons nos derniers pas dans les terres fumantes, le temps d’une matinée encore active. Puis nous redescendons vers la route. Le bus nous ramène à Hella, où nous changeons de véhicule pour rejoindre Þórsmörk. L’accès à cette vallée encaissée, cernée de glaciers, demande un peu de souplesse : il faut franchir des rivières, composer avec les conditions du moment, accepter l’imprévu. Le trajet devient une aventure en soi. Nous arrivons en fin de journée, dans une lumière rasante. Les tentes se plantent dans un écrin de verdure, au pied des reliefs. L’ambiance change : plus végétale, plus douce, mais toujours isolée. Nous retrouvons un autre rythme, celui de la vallée. Installation du bivouac et nuit sur place.
Nous entamons la journée avec une ambition claire : prendre de la hauteur. Le départ se fait tôt, dans une lumière encore douce. L’objectif du jour : rejoindre le col de Fimmvörðuháls, perché entre deux géants de glace, Mýrdalsjökull et Eyjafjallajökull. Le guide nous présente le tracé, les points de repère, les passages clés. Très vite, le terrain devient plus technique, plus aérien. Nous grimpons en continu, le souffle court, les jambes engagées. Le paysage s’ouvre à mesure que nous gagnons en altitude. Là-haut, deux cratères, nés de l’éruption de 2010, marquent une pause dans notre progression. Nous prenons le temps de les observer, de comprendre leur histoire, de ressentir la puissance du lieu. La marche se poursuit sur les crêtes, entre ciel et glace. Le vide est là, tout proche, mais le groupe reste concentré, solidaire. Les vues sont saisissantes, les contrastes forts. Le vent nous accompagne, parfois sec, parfois porteur. En fin de journée, nous redescendons vers le camp, les corps fatigués mais encore traversés par les sensations de l’altitude. La nuit se passe sous tente, dans un calme retrouvé. Nous nous endormons avec en tête les images du jour, les reliefs parcourus, les émotions partagées.
Nous entamons notre dernière balade dans la vallée. Le rythme est plus doux, les corps relâchés, les esprits encore imprégnés des jours passés. Nous cheminons entre les bouleaux arctiques, leurs troncs clairs dessinant des lignes fines dans le paysage, et les ondulations sombres des formations volcaniques. Le terrain est joueur, parfois souple, parfois plus technique, toujours surprenant. Chaque pas est l’occasion de prolonger un peu cette immersion dans la nature islandaise. En début d’après-midi, nous quittons les sentiers pour retrouver la piste. Le bus nous attend pour amorcer le retour. Direction Reykjavik. À mesure que nous approchons de la capitale, le contraste se fait sentir. Le silence laisse place aux bruits de la ville, les grands espaces aux lignes urbaines. Nous retrouvons notre guesthouse en fin de journée. Chacun s’installe, prend le temps de se poser, de se reconnecter à un autre rythme. Le dîner est libre, l’occasion de flâner en ville ou de partager un dernier repas ensemble. Une transition en douceur, avant le retour.
Nous avons une journée entière devant nous pour explorer Reykjavik à notre rythme. Chacun choisit sa trajectoire : flâner dans les rues du centre, s’attarder dans un musée, s’installer dans un café, longer les quais du port ou s’offrir un bain chaud en plein air. L’ambiance est différente, plus urbaine, mais le mouvement reste là, plus libre, plus personnel. Après plusieurs jours passés en pleine nature, ce retour à la ville crée un contraste fort, presque déroutant. Nous prenons le temps de nous poser, de digérer le voyage, de revenir doucement. Le soir, nous retrouvons notre guesthouse. Le dîner est libre, chacun choisit son adresse ou partage un dernier repas avec le groupe. Une dernière nuit en Islande, avant le départ.
Transfert à l’aéroport de Keflavík et vol retour.
Ces tarifs sont valables pour des départs de Paris. Des départs d'autres villes sont possibles, n'hésitez pas à nous en faire la demande. Les prix indiqués ne sont valables que pour certaines classes de réservation sur les compagnies aériennes qui desservent cette destination. Ils sont donc susceptibles d'être modifiés en cas d'indisponibilité de places dans ces classes au moment de la réservation.
Supplément chambre individuelle à Reykjavík : sur demande
Location de sac de couchage : sur demande
Envie de partir en famille ou avec vos amis aux dates que vous souhaitez ?
- 5 nuits en camping dans les highlands
- 2 nuits en guesthouse
- Deux nuits à Reykjavík en guest house, en chambre twin avec sanitaires à partager. Ces petites structures, souvent familiales, sont proches des axes principaux. Elles proposent un service proche de l’hôtellerie classique, avec petit déjeuner inclus, Wi-Fi gratuit et parfois restauration. Les chambres disposent de sanitaires partagés.
- Cinq nuits sous tente igloo, à deux par tente, avec matelas autogonflants fournis. Le bivouac, c’est l’option idéale pour s’aventurer dans les territoires les plus reculés. Les campings offrent des abris pour les repas, barbecues, blocs sanitaires avec douches (souvent payantes). Une tente collective permet de préparer les repas et de se retrouver.
Une tente individuelle est possible sur demande (trois nuits, selon disponibilité) : supplément de 55€ par personne. Ce supplément ne couvre pas les en guest house.
Semi-itinérant
de 4 à 5h d'activité par jour en moyenne ou un dénivelé moyen de 300 à 500m
Bien choisir le niveau de votre voyage
5 jours de marche.
De 6 à 15 participants
MARCHE
D'1 à 6h environ. La plupart des déplacements se fait en bus privatisé et adapté aux pistes empruntées. Ce mode de transport permet de visiter un maximum de lieux différents. Les déplacements en véhicule sont ponctués de visites, de balades et de randonnées plus ou moins longues. L’itinéraire sera dans la mesure du possible adapté au niveau du groupe, mais vous devez être capable de marcher toute une journée. Le portage se limite à un sac à dos de petite contenance pour les affaires de la journée : laine polaire, vêtements de pluie, gourde, pique-nique et thermos si nécessaire, appareil photo ou caméra. Certains jours le temps de marche sera scindé en deux ou plusieurs arrêts. Les conditions météorologiques et le rythme du groupe peuvent amener le guide à modifier le temps de randonnée prévu.
DIFFICULTES LIEES A LA MARCHE
Le terrain est d’une grande variété : rocaille, sable volcanique, mousses plus ou moins épaisses, coulées de lave, traversées de cours d’eau… Les dénivelés sont, dans l'ensemble, peu importants (300-350m en moyenne, occasionnellement plus sur une journée ou deux) mais la déclivité peut l'être, d'autant que le terrain ne permet pas toujours d’aborder un versant en zigzaguant comme on le fait dans nos montagnes. Les sentiers aménagés n’existent pas partout en Islande, et le groupe marche à sa guise… à condition de suivre les consignes du guide. Les problèmes liés à l’altitude ne se posent pas.
UN MOT SUR LA METEO
La météo peut être difficile en Islande. Elle est aussi très capricieuse et peut changer plusieurs fois au cours d'une même journée, passant d'un temps ensoleillé à la pluie et au vent (et vice versa). Il est donc essentiel de bien respecter la liste d’équipement pour profiter pleinement de votre voyage : vêtements chauds pour vous couvrir par grands vents, pour les pauses lorsque l'on marche et le soir (laine polaire épaisse, pull-over, veste rembourrée, sous-vêtements longs, gants, bonnets, cache-col, etc.) ; vêtements de pluie efficaces (en Gore-tex – ou équivalent – pour le haut ET le bas du corps) ; vêtements en matière synthétique séchant rapidement (vêtements en coton et jeans à éviter absolument) ; chaussures de marche très bien imperméabilisées (l’utilisation des guêtres est facultative).
- 5 nuits en camping dans les highlands
- 2 nuits en guesthouse
- Deux nuits à Reykjavík en guest house, en chambre twin avec sanitaires à partager. Ces petites structures, souvent familiales, sont proches des axes principaux. Elles proposent un service proche de l’hôtellerie classique, avec petit déjeuner inclus, Wi-Fi gratuit et parfois restauration. Les chambres disposent de sanitaires partagés.
- Cinq nuits sous tente igloo, à deux par tente, avec matelas autogonflants fournis. Le bivouac, c’est l’option idéale pour s’aventurer dans les territoires les plus reculés. Les campings offrent des abris pour les repas, barbecues, blocs sanitaires avec douches (souvent payantes). Une tente collective permet de préparer les repas et de se retrouver.
Une tente individuelle est possible sur demande (trois nuits, selon disponibilité) : supplément de 55€ par personne. Ce supplément ne couvre pas les en guest house.
Chaque jour, le corps se dépense, et chaque soir, il se régale. Les repas sont préparés sous la conduite du guide, pris en commun sous la tente mess : plats chauds, copieux, nourrissants. Le midi, on pique-nique dehors, au rythme de la marche et des paysages.
L’Islande offre une cuisine simple et fraîche : poisson du jour, viande d’agneau, produits laitiers de qualité. Sous serre, les Islandais cultivent tomates, poivrons, concombres, laitues, champignons… Les pommes de terre sont fermes, les carottes parfumées, souvent sans traitement.
Les petits déjeuners sont également chauds et pris ensemble.
Important : pensez à nous signaler toute allergie avant le départ.
Guide Terres d´Aventure, islandais francophone ou français, connaissant le pays. En plus de guider le groupe lors des randonnées et visites, il prépare les repas avec l’aide des participants.
Pour faciliter la manutention et le transport dans la soute ou la remorque du véhicule, les valises rigides sont à proscrire. Préférez un sac souple, résistant, qui ne craint ni la pluie ni le sable. À l’intérieur, protégez vos affaires avec des sacs plastiques solides, notamment les vêtements et le sac de couchage.
Évitez d’y entreposer du matériel fragile (appareil photo, etc.) pendant les journées de marche : les secousses liées à l’état des pistes ou à la manipulation des sacs peuvent les endommager. Si vous ne souhaitez pas les porter avec vous, confiez-les directement au guide ou au chauffeur, en les isolant dans un contenant à part.
Attention : en cas de non-respect de ces consignes, ni le guide, ni le chauffeur, ni aucun membre de l’équipe ne pourra être tenu responsable des éventuels dommages.
Vols réguliers.
Le réseau mobile progresse chaque année, mais certaines zones restent sans couverture. Sur la côte et le long de la route numéro 1, le signal GSM est généralement bon. Dans les villages et agglomérations, on capte la 4G ou la 5G.
Pour recharger vos appareils électroniques, les possibilités sont limitées. Sur le tour de l’île, certains refuges proposent un service de recharge, parfois payant, mais il ne faut pas compter dessus dans les hautes terres.
Prévoyez des batteries de rechange : elles vous permettront de rester autonome, même loin de tout.
Lors des randonnées, il n’y a pas de toilettes sur notre trajet. Sur certains sites, elles peuvent être rudimentaires (toilettes sèches, absence d’évier et de savon, etc.).
Vous devez répartir vos affaires dans deux sacs : un sac à dos et un sac de voyage souple.
Le sac à dos (environ 40 litres) vous accompagne en journée. Il contient vos affaires personnelles, vos objets fragiles (appareil photo…), vos médicaments et tout ce qui doit rester à portée de main. Il fait aussi office de bagage cabine lors des vols. Poids limité à 10 kilos en vol international, 6 kilos en vol domestique.
Le sac de voyage souple, transporté par véhicule, vous attend chaque soir. Il doit être robuste, peu sensible à l’humidité et à la poussière. Évitez les valises rigides : elles compliquent la manutention et le stockage. Protégez vos affaires à l’intérieur avec des sacs plastiques solides.
Ne laissez pas d’objets fragiles dans votre sac principal pendant la journée : les pistes secouent, les manipulations aussi. Si vous ne souhaitez pas les porter, confiez-les à part au guide ou au chauffeur. Attention : en cas de dommage, aucune responsabilité ne pourra être engagée.
Avant le départ, vous recevrez des étiquettes pour identifier vos bagages. Le poids autorisé en soute vous sera précisé sur votre convocation.
En cabine : ce qu’il faut savoir
Les contrôles de sécurité sont stricts. Rangez couteaux, ciseaux, limes à ongles dans votre sac de soute.
Les liquides, gels et pâtes (eau, shampoing, dentifrice, etc.) sont autorisés en cabine uniquement s’ils sont conditionnés dans des flacons de 100 ml maximum, regroupés dans un sachet plastique transparent fermé (environ 20 × 20 cm).
Exceptions :
• Médicaments liquides (insuline, sirops…) avec ordonnance ou attestation nominative.
• Médicaments solides : aucun contrôle.
• Aliments liquides pour bébés : autorisés sans restriction, mais il peut vous être demandé d’en goûter.
Au contrôle, présentez à part votre veste, vos appareils électroniques (ordinateur, appareil photo…), votre sachet de liquides, vos médicaments et aliments pour bébé.
Les achats de liquides en boutique aéroport doivent être placés dans un sac scellé (attention, toutes les boutiques ne le proposent pas). Les achats effectués après le contrôle sont libres, sous réserve des règles douanières et des correspondances.
Le climat islandais est imprévisible. Il exige un équipement performant, pensé pour le mouvement, la pause, le vent, la pluie. Un vêtement inadapté peut gâcher l’expérience : le froid fatigue, empêche de récupérer, freine l’élan. Et dans un groupe, le rythme se partage.
La règle d’or : des vêtements qui sèchent vite.
Les règles numéro un, deux et trois : pas de coton. Ni t-shirt, ni jeans. Le coton absorbe l’humidité et met des heures à sécher. Préférez la laine, la soie ou les fibres synthétiques : elles gardent la chaleur et vous gardent en mouvement.
Pensez à vous couvrir avant d’avoir froid. Les vêtements ne produisent pas de chaleur, ils conservent celle que vous leur donnez.
À prévoir :
• Un bonnet épais, doublé sur les oreilles, et un plus léger pour l’effort.
• Une casquette et un foulard type cache-col, utile aussi pour les oreilles ou la tête.
• Des gants ou moufles en laine, et une paire plus légère pour marcher. Le vent peut transformer +5?°C en -12?°C.
• Des t-shirts respirants (1 pour 2 à 3 jours), en Capilene, Dryflo, Light Effect…
• Un sous-pull ou une chemise à manches longues (matière respirante).
• Un gros pull de laine ou une veste rembourrée compacte pour le soir.
• Une polaire épaisse.
• Une veste imperméable et respirante type Gore-tex : indispensable.
• Un pantalon de randonnée léger, idéalement convertible en short.
• Un pantalon souple pour le soir.
• Un surpantalon imperméable et respirant type Gore-tex : aussi indispensable.
• Une cape de pluie, uniquement si elle est fermée sur les côtés et dotée d’un cordon de serrage.
• Un maillot de bain.
• Des chaussettes de marche (1 paire pour 2 à 3 jours), en laine ou Coolmax. Évitez le coton.
• Une paire de chaussures de randonnée solides, imperméables, avec maintien de cheville. Modèle cuir avec semelle Vibram et pare-pierres recommandé. Cirez-les bien. Pensez à les « casser » avant le départ et à emporter des lacets de rechange.
• Une paire de chaussures en néoprène pour les gués (chaussons de planche à voile ou chaussettes néoprène avec semelle). Les sandales peuvent convenir si elles tiennent bien au pied, mais ne protègent pas du froid.
• Une paire de guêtres (facultatif).
• Une paire de chaussures détente pour le soir.
L’Islande demande un équipement fiable, pensé pour durer, résister, accompagner. Chaque objet compte, chaque détail peut faire la différence.
Voici ce qu’il faut emporter :
• Une paire de lunettes de soleil de très bonne qualité.
• Une paire de bâtons télescopiques : fortement recommandés. Ils facilitent les montées, les descentes, les traversées de rivières, et surtout, ils préservent vos articulations sur les terrains irréguliers.
• Une gourde (minimum un litre).
• Une lampe frontale (à partir du mois d’août).
• Un couteau de poche (à glisser dans le bagage en soute).
• Une petite pochette étanche pour vos papiers et votre argent.
• Un nécessaire de toilette, avec des produits biodégradables.
• Une serviette à séchage rapide (type Packtowl de MSR).
• Des boules Quies : recommandées pour bien récupérer la nuit.
• Une crème solaire et un stick à lèvres.
• Une paire de jumelles pour observer les oiseaux (facultatif).
• Un nécessaire de couture.
• Du ruban adhésif type Duct Tape : imperméable, souple, très adhésif. Idéal pour les réparations de fortune (chaussures, vêtements, lunettes…). Conseil : enroulez-en autour d’un bâton ou d’un crayon pour l’avoir toujours sous la main.
1 sac de couchage (confort entre -5 et -10°C)
Attention : les sacs de couchage en fibres synthétiques perdent de leur efficacité avec les années. Pensez au drap de sac (en soie ou en polaire) qui peut compenser dans une certaine mesure cette perte d'efficacité.
• Vos médicaments habituels
• Médicaments contre la douleur : paracétamol de préférence
• Bande adhésive élastique (type Elastoplast, en 6 cm de large)
• Jeux de pansements adhésifs + compresses désinfectantes
• Double peau (SOS Ampoules de marque Spenco, disponible en magasins de sport, en pharmacie, parapharmacie...)
• Une boîte de masques chirurgicaux ou ffp2 pour l'avion et les espaces où il est imposé
• Du gel hydroalcoolique
Une trousse de premiers secours, fournie par l'agence et adaptée à votre voyage, est placée sous la responsabilité de votre accompagnateur.
Carte nationale d´identité ou passeport, valides pour toute la durée du séjour, pour les ressortissants français, belges ou suisses. Pour les autres nationalités, nous sommes à votre disposition pour vous accompagner dans vos démarches.
Si vous voyagez avec vos enfants, sachez que, dorénavant, les mineurs, quel que soit leur âge, doivent eux aussi avoir un passeport individuel. La législation française stipule que les mineurs voyageant avec leurs deux parents, ou un seul des deux, n'ont pas besoin d'être en possession d'une autorisation de sortie du territoire. En revanche, ce document est obligatoire (depuis le 15 janvier 2017) si cette condition d'accompagnement n'est pas remplie. Dans ce dernier cas, l'enfant devra présenter : passeport (ou carte d'identité, selon les exigences du pays de destination) ; le formulaire d’autorisation de sortie du territoire, signé par l'un des parents titulaires de l'autorité parentale (le formulaire d’autorisation de sortie du territoire est accessible sur le site www.service-public.fr) ; une photocopie du titre d'identité du parent signataire.
Lorsqu’un mineur voyage avec l’un de ses parents dont il ne porte pas le nom, il est fortement conseillé soit de pouvoir prouver la filiation (https://www.service-public.fr/particuliers/vosdroits/F15392), soit de présenter une autorisation de sortie du territoire (formulaire Cerfa n° 15646*01) dûment remplie et signée par l’autre parent avec copie de sa pièce d’identité. Cette autorisation ne dispense pas de l’accomplissement de toute autre formalité spécifique à la destination concernant les mineurs.
Depuis le 1er janvier 2014, les cartes nationales d’identité sécurisées françaises délivrées à des majeurs entre le 2 janvier 2004 et le 31 décembre 2013 ont automatiquement une durée de validité étendue de 5 ans, sans modification matérielle du titre. Ainsi, la carte d’une personne majeure au moment de la délivrance portant comme date de fin de validité le 23 avril 2014 sera en réalité valable jusqu’au 23 avril 2019. De façon à éviter tout désagrément pendant votre voyage (les autorités islandaises n'ayant pas précisé leur position quant à cette mesure), il vous est fortement recommandé de privilégier l’utilisation d’un passeport valide à une CNI portant une date de fin de validité dépassée, même si elle est considérée par les autorités françaises comme étant toujours en cours de validité.
Si vous voyagez uniquement avec votre carte nationale d’identité, vous pourrez télécharger et imprimer une notice multilingue expliquant ces nouvelles règles en allant à l'adresse suivante : http://media.interieur.gouv.fr/interieur/cni-15ans/document-a-telecharger-islande.pdf
De nouvelles mesures de sécurité sont entrées en vigueur dans les aéroports : les appareils électroniques (smartphones, tablettes, portables…) doivent être chargés et en état de fonctionnement pour tous les vols allant ou passant par les Etats-Unis et Londres. Les agents de contrôle doivent pouvoir les allumer. Par précaution, ayez votre chargeur à portée de main. Si votre appareil est déchargé ou défectueux, il sera confisqué. Cette mesure étant susceptible d’être étendue à d’autres aéroports, nous vous conseillons de charger vos appareils électroniques avant le vol quelle que soit votre destination.
Pas de visa requis pour les ressortissants français, belges ou suisses. Pour les autres nationalités, nous sommes à votre disposition pour vous accompagner dans vos démarches.
Comme toujours et partout, il est important d’être protégé contre diphtérie, tétanos, coqueluche (dont la réapparition chez les adultes, même en France, justifie la vaccination pour tout voyage), poliomyélite, hépatites A et B.
Si, comme dans tous les pays d'Europe, le voyageur n'est pas exposé aux risques sanitaires « exotiques », les risques comportementaux ou environnementaux peuvent être les mêmes qu'ailleurs.
Les infrastructures sanitaires sont, bien sûr, satisfaisantes partout, mais le coût des soins dans certaines structures privées réclame que l’on vérifie toutes les clauses du contrat d´assurance-assistance souscrit avant le départ.
L’Islande n’est pas ce pays glacé qu’on imagine parfois. Malgré sa position aux portes du cercle polaire, elle bénéficie de l’influence du Gulf Stream, qui adoucit les côtes sud, ouest et nord-ouest. Le climat y est océanique tempéré : hivers relativement doux, étés frais. À Reykjavík, les températures oscillent entre 0?°C en janvier et 12?°C en juillet.
À l’est et au nord-est, le courant polaire du Groenland abaisse légèrement les températures. Seul l’intérieur des terres peut connaître des froids plus mordants, jusqu’à -15?°C.
Les pluies sont plus fréquentes au sud qu’au nord. Le vent, lui, est omniprésent, parfois violent.
Mais la vraie signature du climat islandais, c’est son instabilité. « Si vous n’aimez pas le temps qu’il fait, attendez une minute… » dit-on ici.
La lumière aussi joue sa propre partition. Pas de nuit polaire, mais des journées courtes en hiver (de 10 heures à 16 heures environ entre décembre et février), et une quasi-lumière permanente de mai à mi-août. Juin offre des clartés magnifiques et un jour sans fin.
Les aurores boréales apparaissent dès septembre, culminent en décembre et janvier.
Pour suivre la météo, l’activité sismique ou le niveau des rivières, le site https://www.vedur.is propose des informations détaillées, en islandais et en anglais.
Les territoires que vous traversez sont vivants, mais fragiles. L’Islande est une terre pré-arctique, où la végétation pousse lentement, portée par des étés courts et frais. Certaines mousses, comme la philonotis, ne supportent pas le piétinement. Quand un sentier existe, empruntez-le. Quand il n’y en a pas, choisissez le sol le moins vulnérable.
On ramène tous nos déchets. Même si certains lieux sont déjà marqués par des détritus, on ne laisse rien derrière : papiers, mouchoirs, mégots… Les déchets organiques aussi (trognons, pelures) doivent être jetés : ici, la décomposition est lente, faute de bactéries.
Ne cueillez pas de fleurs, ne ramassez pas de pierres dans les réserves naturelles, parcs nationaux ou zones protégées. Et même ailleurs, abstenez-vous. L’Islande tout entière mérite le respect qu’on accorde à une réserve.
Dans le doute, demandez conseil à votre guide. Il connaît les lieux, leurs règles, leur rythme.
Marcher en pleine nature, c’est aussi marcher avec elle.
Nous absorbons 100% des émissions de CO2 générées par le transport aérien et terrestre de votre voyage. Au travers de nos projets de reforestation, nous contribuons chaque année à la captation de centaines de milliers de tonnes de gaz à effet de serre, équivalent à la totalité des émissions liées à nos voyages. Ces projets sont toujours porteurs d'un objectif de développement économique autonome pour les populations locales. Pour en savoir plus https://www.philipperomero-insolitebatisseur-foundation.org/
Nous avons toujours eu à cœur de développer un tourisme responsable. Depuis nos débuts, nous créons des voyages différents grâce à toutes les ressources de la terre, mais avec le devoir d'en assurer la pérennité pour les générations futures. Eau et énergie, rémunération et prévoyance, il y a tant à faire durant nos voyages ! Ainsi, nous œuvrons pour systématiser l'utilisation de ressources durables et pour limiter les impacts sociaux et environnementaux de notre activité.
Guides et cartes sont disponibles dans la Librairie de Voyageurs du Monde située au 48 rue Sainte-Anne 75002 Paris
Pour 100 € payés sur ce voyage :
Notre approche :
Nous pensons qu’il est important que chaque voyageur soit informé de la décomposition du prix de nos voyages. Nous partageons ici cette information. Elle correspond à la moyenne observée ces 3 dernières années des coûts de tous les voyages de même catégorie (voyage en groupe, voyage en famille, voyage liberté, voyage sur mesure ou croisière) dans cette destination.
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